Un atome de désolation
Sur nos songes incertains
Où se terrent les désirs retenus de nos vies
Dans une routine assassine
Il n'y a rien à faire, il faut que j'y retourne
Ce pays à l'heure du soleil et de l'oubli
C'est comme demander à un oiseau
De passer sa vie en cage
Sous prétexte qu'il y a les chats
Celui qui a respiré
La poussière de la route des enfants fous
Ne trouvera plus la paix
Dans aucun autre pays
Suffisent ces mines ternes
Ces faux-semblants ne menant à rien
Consommer
Travailler
Produire
Il n'y a rien à faire, il faut que j'y retourne
Ce pays à l'heure du soleil et de l'oubli
C'est comme demander à un oiseau
De passer sa vie en cage
Sous prétexte qu'il y a les chats
Un atome de désolation
Sur nos songes incertains
Où se terrent les désirs retenus de nos vies
Dans une routine assassine
Il n'y a rien à faire, il faut que j'y retourne
Ce pays à l'heure du soleil et de l'oubli
C'est comme demander à un oiseau
De passer sa vie en cage
Sous prétexte qu'il y a les chats
Pron d'aquelu faças de luna, aquelu guinha-faussas que sabon manco dont van
la consommacion, lo trabalh, la producion, 'na grossa fora, lo pron !
Banda de toristas... terroristas... o ma qué
Banda de toristas... terroristas